Vincent Graton nous offre son premier portrait d’automne.

C’est l’anniversaire de Pascal Morissette, et Les Lève-tôt n’y vont pas de main morte : entre l’appel tendre de Julie Ringuette et des filles, et un cadeau complètement fou, une fausse page Wikipédia retraçant sa “carrière”, Pascal est comblé. Chef Oli relève un défi culinaire : préparer un repas complet pour l'Action de grâce pour seulement 40 $, avec gratin, tourtière et tarte à la citrouille, tout en partageant astuces et recettes pour réinventer les restants. Tatiana Polevoy, elle, dévoile les nouvelles les plus absurdes de la semaine : un côlon fugitif, une crème glacée au Tylenol, et Harvard qui prescrit 21 éjaculations mensuelles !

Dans cet épisode des Lève-tôt, Dominic Arpin partage son parcours poignant à travers son livre La vie commence où la peur s’arrête, mêlant humour, vulnérabilité et récits de dépassement, incluant son combat contre le cancer. Ensuite, Élodie Scarlett Côté, six ans et prodige du piano, impressionne par son oreille absolue et sa musicalité naturelle, promettant un avenir brillant. L’équipe revient aussi sur l’histoire des Expos de Montréal avec le documentaire Qui a tué les Expos?, explorant nostalgie, humour et mystère autour de la fin de l’équipe mythique. Enfin, les phénomènes viraux et les « crises d’après l’école » des enfants sont abordés, mêlant légèreté, observations parentales et stratégies pratiques, laissant entrevoir la complexité et les surprises du quotidien.

Patrick Marsolais, Tatiana Polevoy et Isabelle Racicot explorent la tension entre technologie et quotidien parental, avec des applis comme HopHop qui synchronisent chaque sortie d’enfant. Le documentaire choc sur Éric Lapointe suscite un débat sur rédemption et pardon, tandis que Geneviève Tardif partage l’enthousiasme autour du Canadien et du jeune Zachary Bolduc. Le phénomène du pickleball fait aussi son entrée, reliant générations et amis autour du jeu. Enfin, les préparatifs de la photo scolaire chez les Polevoy-Gonzalez deviennent un chaos charmant, rappelant que l’authenticité l’emporte toujours sur la perfection.