La revue de presse de Paul Arcand

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur l'attaque d'Israël contre l’Iran visant à neutraliser son potentiel nucléaire. «Israël affirme que la menace d'une attaque était imminente, c'est pour ça qu'on a lancé cette opération. L'Iran a répondu, quelques heures plus tard, en envoyant une centaine de drones qui ont été, pour la plupart, neutralisés. Nous avons donc le potentiel d'une autre guerre régionale. [...] Les images qu'on a pu voir notamment sur les réseaux sociaux montrent des immeubles touchés. On voit les flammes, on entend les explosions, il y a des morts et des blessés...» Autres sujets abordés SAAQclic: on a caché au ministre l’ampleur des dépassements de coûts; Opération antimafia: le clan Rizzuto est ébranlé; Et c’est le week-end du Grand Prix.

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur les émeutes à Los Angeles. «Donald Trump aimerait ça que ça pète, que les affrontements soient violents, que des gens soient blessés et que ça vienne justifier la présence des militaires. Or, ce n’est pas ça qui se passe en réalité…» Autres sujets abordés Montréal fait le ménage pour l’arrivée des touristes; Michael Sabia quitte Hydro-Québec; Il faut attendre de plus en plus longtemps pour un remplacement de hanche ou de genou; Aujourd’hui, 12 juin, c’est la journée de l’achat local.  

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente les actions de Donald Trump en marge du chaos qui s'est installé dans une partie de Los Angeles où des manifestations monstres ont lieu pour dénoncer la politique migratoire des républicains. Un total de 4700 militaires ont été déployés par le président américain. «Trump se présente en sauveur de Los Angeles, affirme Paul Arcand. Sans lui, il ne se gêne pas pour le dire, la ville serait à feu et à sang. [...] Sa stratégie est simple: il déploie les soldats et les marines, même si personne ne lui demande [...] et se pointe en disant: "Je vais vous régler ça."» Autres sujets abordés Avions de combat, contrats informatiques: le gouvernement fédéral lance l’argent par les fenêtres; Boire et manger sur le bras des contribuables, deuxième partie; Le défenseur des Canadiens de Montréal, Lane Hutson, nommé recrue de l’année.

À l'occasion de sa revue de presse mardi, Paul Arcand fait le point sur la grève des employés d'entretien de la STM qui se poursuit aujourd'hui sous la pluie. «Il n'y a pas de service en soirée jusqu'à 23 heures dans une ville comme Montréal, ça n'a aucun sens, affirme Paul Arcand. Les négociations sont dans un cul-de-sac [...] Beaucoup de confusion, de frustration. Les gens ne savent pas trop pourquoi il y a une grève. Certains comprennent les revendications, mais disent que c'est emmerdant.» «C'est sûr que c'est une négociation qui sera dure, qui sera tough [...] Et même si la grève est prévue pour quelques jours, qu'il y a une parenthèse pour le Grand Prix de F1, d'autres syndicats sont en colère et faut s'attendre à d'autres perturbations...» Autres sujets abordés Grève à la STM: Uber en profite; Les émeutes de Los Angeles: Trump double le nombre de soldats; Pourquoi le prix d’un repas commandé en ligne est-il si élévé? Pas de procès pour l’homme qui aimait les jeunes filles; Décès de l’écrivain Victor Lévy-Beaulieu.

À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand aborde la grève des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal. Dès aujourd'hui et jusqu'à mercredi, le service d'autobus et de métro sera chamboulé avec des passages uniquement aux heures de pointe, forçant les usagers à se tourner vers d'autres moyens de se déplacer, comme le transport actif, les taxis ou la voiture. «Le problème, c'est que ça risque de dégénérer. Pourquoi? Parce qu'il n'y a pas juste les employés d'entretien qui sont prêts à faire la grève. Les chauffeurs d'autobus sont prêts aussi à quitter le travail et d'autres employés de la STM sont prêts à débrayer. Donc, des négociations difficiles et moi, j'ai l'impression que la rentrée de septembre risque d'être mouvementée.» Le service sera également réduit les 12, 16 et 17 juin avec un retour à la normale le temps du Grand Prix de Formule 1 à Montréal.  Autres sujets abordés Manifestations contre la chasse aux immigrants: la garde nationale est déployée à Los Angeles; Le ton est donné pour les prochaines élections au Québec; Un jeune joueur de hockey doit renoncer à son sport, faute d'assez bons résultats scolaires.

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente la récente saga entre le président américain Donald Trump et le milliardaire Elon Musk.  Les deux hommes ont multiplié les attaques personnelles jeudi sur leur réseau social respectif après que le patron de Tesla ait critiqué le mégaprojet de loi budgétaire de l'administration Trump. Elon Musk a notamment accusé le président d'être ingrat et a déclaré qu'il n'aurait jamais gagné les élections sans son aide. Donald Trump l'a par la suite menacé de mettre fin aux contrats accordés à ses sociétés, ce à quoi le milliardaire a répliqué en affirmant que le nom du président américain figurait dans les dossiers Epstein. «On sent un malaise. Elon Musk grafigne Donald avec son projet de loi budgétaire. Le narcissique n'aime pas ça, il commence à bouillir, à perdre patience. Et puis jeudi, ça explose, c'est le divorce sur la place publique entre l'homme le plus riche de la planète et l'homme le plus puissant au monde.» Autres sujets abordés L'UPAC confirme qu'elle enquête sur le scandale SAAQclic; Le dossier de santé numérique va coûter plus cher et sera livré plus tard; Gilbert Rozon affirme être victime d'une tentative d'extorsion lors son procès civil; Les profits de la Société des alcools du Québec sont en baisse.

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit aux informations de La Presse selon lesquelles les travaux de la commission Gallant, qui visent à faire la lumière sur le fiasco SAAQclic, pourraient être prolongés. «La commission Gallant a besoin de plus de temps pour retourner toutes les pierres du scandale SAAQclic, affirme Paul Arcand. C'est pire que ce que l'on pensait. Chaque jour, chaque témoin, est une démonstration de l'insouciance, de l'incompétence voire même de la magouille.» «Par exemple, on a appris hier que la SAAQ n'avait pas pensé à la possibilité d'un dépassement de coûts. Non, les consultants et les fonfons n'avaient pas pensé à ça. Pourtant, l'histoire du Québec est garnie de dérapages budgétaires spectaculaires.» Autres sujets abordés Donald Trump interdit aux citoyens de 12 pays de venir aux États-Unis; Marc Garneau est décédé à l’âge de 76 ans; Nouvelle peine de prison pour un pédophile récidiviste; Attention quand vous déposez un chèque de façon électronique.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à la décision du président américain Donald Trump d'imposer des droits de douane de 50% sur l’acier et l'aluminium. «Le monarque a doublé les tarifs sur l'acier et l'aluminium. Ça va durer combien de temps, c'est la grande question? [...] Quel est l'impact sur l'industrie et les travailleurs? Est-ce qu'il y aura des mises à pied? Tous s'entendent pour dire que c'est impossible d'absorber un tarif de 50%. L'autre question c'est: est-ce que les Américains peuvent vraiment se priver de notre acier et de notre aluminium?» « Monsieur Trump prétend que c'est au nom de la sécurité nationale et que, de toute façon, il n'a pas besoin des produits canadiens. Or, les gens de l'industrie, ici, nous disent que c'est à peu près 20% de ce que les Américains consomment qui sont produits aux États-Unis. Donc, plus de 70% de l'importation vient du Canada. Donc c'est pas vrai qu'ils sont autosuffisants  [...] Est-ce une crampe temporaire ou un geste permanent?» Autres sujets abordés Immigration: Mark Carney veut déporter plus rapidement les demandeurs d’asile; Commission Gallant: comment jouer avec les appels d’offres. La chanteuse Nicole Croisille meurt à 88 ans.

À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde les découvertes de la Commission Gallant sur SAAQclic qui représente, selon lui, un immense scandale qui dure depuis des années. «C'est pire que tout ce qu'on avait imaginé. Je me demande si les révélations ne sont pas plus assommantes que ce qu'on avait appris lors des travaux de la Commission Charbonneau. [...] On a flambé plus d'un milliard pour une cochonnerie, pour un produit qui fonctionne tout croche. [...] Au moins, Monsieur Trottoir, Monsieur Milioto, faisait des trottoirs de qualité. Au moins, Tony Accurso faisait des travaux de qualité. Il était "on time" et "on budget" comme il disait à la commission.» Paul Arcand explique avec un brin d'ironie qu'au moins, lors du scandale de la construction: «on a payé cher, mais au moins ça fonctionnait», alors que dans le cas de la SAAQ, on a eu droit à un naufrage complet. Il ne mâche d'ailleurs pas ses mots à l'endroit du conseil d'administration. Il se demande aussi pourquoi l'UPAC ne réactive pas ses enquêtes à propos de ce fiasco. Autres sujets traités: Le débat sur l’immigration est relancé; Les gens de Québec veulent le troisième lien; Le café, c’est bon pour la santé; Mario Pelchat ne peut pas chanter dans son vignoble.

À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente la situation dans la bande de Gaza où de nouvelles frappes de l'armée israélienne ont entraîné la mort d'au moins 31 civils à Rafah. Les autorités palestiniennes affirment que les victimes se dirigeaient vers un centre américain de distribution d'aide alimentaire. Les projectiles ont été tirés vers la foule depuis des drones et des chars, selon l'AFP. «Les bombes, la famine, Israël continue sa stratégie meurtrière  [...] On sait que depuis deux mois, Israël a encore une fois augmenté la pression, resserré l'étau de l'acheminement de la bouffe, de médicaments et des biens de première nécessité. C'est une guerre qui ne finit plus. On prétend parler de paix, mais c'est toujours l'affrontement.» Autres sujets abordés La Banque Royale refuse de rembourser des clients qui ont été fraudés; En Ukraine aussi la guerre continue; Rencontre des premiers ministres des provinces: François Legault est-il prêt à accepter qu’un pipeline traverse le Québec?  Donald Trump continue de «jouer à chicken».