Paul Arcand s’entretient avec Nathalie Pépin, une intervenante de la DPJ, sur la charge mentale et la fatigue de compassion. Elle attend avec impatience le rapport de la commission Laurent. Joanne Castonguay, la commissaire à la santé et au bien-être, a peu de ressources pour mener son enquête sur les soins offerts aux aînés lors de la première vague de COVID-19. Elle fait un bilan du travail mené jusqu’à maintenant. Et une victime d’agression sexuelle milite pour que tous les hôpitaux soient équipés de trousses médicolégales. Gabrielle Doyon Hanson déplore ne pas avoir été prise en charge et a lancé une pétition.
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand est revenu sur l’histoire de la mère de la fillette de trois ans retrouvée abandonnée sur le bord d’une autoroute en Ontario.
La femme de 34 ans a été déclarée non criminellement responsable par le tribunal.
Ce verdict de non-responsabilité a également été rendu dans d’autres dossiers largement médiatisés, comme le drame de la garderie de Laval ou l’affaire de l’homme de 24 ans qui a agressé un membre de la communauté juive devant ses enfants.
Mais pourquoi autant d’accusés sont-ils déclarés non criminellement responsables au Québec?
Le problème serait-il dans la manière dont on traite les enjeux de santé mentale dans notre système?
« Vous pensez que votre fille, votre frère ou un parent ne va pas bien et que ça dérape? Eh bien, vous ne pouvez absolument rien faire. À moins qu’il y ait une menace. Il faut donc que les policiers soient convaincus de la menace ou qu’un juge ordonne l’hospitalisation. [...] La maladie l’emporte sur le bien-être du patient dans notre système, et on a besoin d’un geste ultime avant d’intervenir. Pourquoi toujours attendre le pire? », se demande Paul Arcand.
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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand met la table pour une semaine très attendue à la commission Gallant, chargée de faire la lumière sur le fiasco SAAQclic.
L'ancienne présidente-directrice générale de la Société de l'assurance automobile du Québec, Nathalie Tremblay, débutera ce lundi son témoignage qui doit durer deux jours. Ce sera ensuite au tour de celui dont le nom est sur toutes les lèvres depuis le début de cette commission, soit Karl Malenfant, l’ancien vice-président aux technologies de l’information de la SAAQ.
Paul Arcand revient notamment sur le portrait de Karl Malenfant réalisé par Katia Gagnon et publié dimanche dans La Presse où il affirme que la commission Gallant est une pièce de théâtre et que le mot fiasco est trop fort pour décrire la situation.
«Monsieur informatique regarde ça de sa tour d'ivoire, il voit les files d'attente du bon peuple, [et il se dit] qu'il n'y a rien là, que ce n'est pas grave. Vous sentez dans les propos cette espèce d'arrogance, cette espèce de suffisance. »
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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, paul Arcand fait un état des lieux dans le dossier de l'assassinat de l'influenceur et militant conservateur Charlie Kirk survenu il y a deux jours.
L'homme de 31 ans, un proche de Trump, a été tué par balle dans le cou lors d'un événement qui se tenait sur un campus universitaire dans l'Utah.
Le FBI a offert une récompense de 100 000 dollars pour retrouver le tireur après avoir publié des photos et une vidéo permettant de voir le suspect descendre du toit où il s'était positionné pour commettre le meurtre.
«L'homme qui a tué Charlie Kirk est jeune, mince et peut facilement se fondre dans une foule d'étudiants. Au moment d'écrire ces lignes, la chasse à l'homme se poursuit [...] Ce qui est clair en regardant les images, c'est que le jeune homme est rapide et agile. On le voit courir sur le toit de l'immeuble, sauter et se poser au sol sans difficulté, se relever, marcher, baisser le tempo avant de se diriger dans un boisé et de disparaître...»
Le président Donald Trump a par ailleurs annoncé qu'il accorderait à Charlie Kirk la médaille présidentielle de la Liberté, à titre posthume.
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