Le débat porte sur la résurrection d'espèces éteintes grâce à la science.
Mélanie de Laval soutient cette pratique pour compenser l'extinction causée par les humains, tandis que Carolane de Saint-Colomban exprime son scepticisme, arguant que les espèces éteintes ne sont plus adaptées à l'environnement actuel et que leur résurrection pourrait déséquilibrer les écosystèmes.