La revue de presse de Paul Arcand
Animé par Paul Arcand
Votre revue de presse est de retour. Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi.
Épisodes
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand discute de la hausse de la facture d'épicerie. En moyenne, les ménages payeront 800$ de plus pour leur panier d'épicerie cette année.
«Le bœuf coûte cher. On le sait c'est un produit de luxe dans les dernières années. Ben ça va augmenter encore plus, de 4 à 8 pour cent. Et les fruits et légumes sont touchés encore plus par la faiblesse du dollar canadien.»
Autres sujets abordés:
- Congé de TPS: «Ce sont les gens les plus aisés qui vont vraiment en profiter.»
- Frais supplémentaires pour amener une valise à roulettes à bord d’un avion d’Air Canada.
- Les confessions d’un tueur de la mafia: des assassinats commis par des personnes qui ont été assassinées à leur tour.
- Céline Dion ne fait pas partie de la liste des plus grandes vedettes pop des années 2000.
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait part de ses observations concernant le projet de loi déposé par le ministre de la Santé, Christian Dubé, qui vise à obliger les nouveaux médecins formés au Québec à pratiquer dans le réseau public pendant les cinq premières années suivant la fin de leurs études.
Une sanction pénale sera imposée afin de dissuader les nouveaux médecins qui voudraient d'abord exercer au privé.
Les amendes prévues sont de 20 000 à 100 000 dollars par jour et par acte, et doubleront en cas de récidive.
«Sur le plan du principe, on comprend, mais il y a beaucoup de zones grises. [...] Il faut aussi se demander pourquoi, à la base, des médecins veulent aller au privé. [...] Il y a des médecins qui n'aiment pas comment le système fonctionne et ce ne sont pas tous des gens qui sont à l'argent.»
Paul Arcand explique par ailleurs avoir reçu des courriels de jeunes médecins irrités par le «docteur bashing».
Autres sujets abordés
- Les Québécois ont dépensé beaucoup durant le Vendredi fou et le Cyberlundi.
- Sondage: petite baisse pour le PQ tandis que la CAQ remonte un peu.
- Une fraude à coup de 40 et 50 dollars.
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand revient sur le souper qu'a tenu Donald Trump dans le cadre du Thanksgiving américain vendredi dernier auquel Justin Trudeau a participé.
C'est devant un steak accompagné de pommes de terre que les deux hommes politiques ont échangé sur des enjeux majeurs, selon ce que rapporte le Globe and Mail qui relate les détails de cette soirée.
Chose certaine, l'influence de Donald Trump est sans équivoque, même s'il n'est pas encore à la tête des États-Unis.
«On ne peut pas dire que M. Trump perd du temps depuis qu'il a été réélu. Il impose son agenda, il a le plein contrôle, et ce, avant même d'avoir officiellement commencé son mandat, son deuxième à la présidence des États-Unis. [...] Donald Trump a le parfait contrôle. Tu forces le premier ministre du Canada à débarquer chez vous en Floride, tu es en train de dicter l'agenda, tu n'es même pas installé dans le bureau ovale. Avouons-le, c'est quand même assez magistral comme performance.»
Autres sujets abordés
- Conflit de travail chez Postes Canada;
- Hausse de prix pour 1000 produits de la SAQ;
- À Ottawa, la vérificatrice générale ignore si la pension de la Sécurité de vieillesse répond aux besoins;
- D'autres enjeux déplorables dans le système de santé;
- Chichane dans les arrondissements de Montréal;
- Les Cowboys Fringants: du Québec au Texas.
À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand aborde une pratique répandue chez les courtiers immobiliers qui est dénoncée par des inspecteurs en bâtiment: la dissimulation de rapports d'inspection défavorables.
La Presse fait état de deux courtiers immobiliers, Jimy Levesque et Carolanne Brière, qui ont occulté un rapport mentionnant un refoulement d'égout dans une propriété à vendre à Saint-Jean-sur-Richelieu.
Des inspecteurs en bâtiment rencontrés par le quotidien affirment qu'il n'est pas rare que des courtiers immobiliers tentent de camoufler certaines informations, même si le Règlement sur les conditions d'exercice d'une opération de courtage oblige les courtiers à informer les parties de tout facteur pouvant affecter défavorablement une transaction.
«Ça jette un regard suspicieux sur ce monde. J'en connais plusieurs, des gens honnêtes, je ne suis pas en train de tout remettre en question. Mais, il y a beaucoup de cowboys dans cette industrie qui n'hésitent pas à flipper des maisons, qui ne travaillent pas toujours dans l'intérêt de leurs clients et qui cachent des informations importantes.»
Autres sujets abordés
- D'importants changements à venir pour le recyclage au Québec;
- La compagnie Lion Électrique branchée sur le respirateur artificiel;
- Santé Québec est maintenant en fonction;
- Culture du silence dans les centres jeunesse à Laval;
- Joe Biden gracie son fils Hunter;
- Balado «La nuit où j'ai failli mourir»: deux autres épisodes sont maintenant disponibles.
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand réagit aux informations de La Presse qui a révélé vendredi que le journaliste spécialisé en affaires criminelles, Daniel Renaud, a été visé par un «contrat» sur sa tête par le tueur à gages Frédérick Silva, en 2021.
«C'est une nouvelle qui nous assomme. [...] On apprend qu'il avait mis un contrat de 100 000$ sur la tête de Daniel... [...] Tout indique que Silva n'était pas très content de la façon dont Daniel couvrait son procès. [...] Silva avait même proposé aux tueurs une façon d'attirer le journaliste. [...] Ça rappelle aussi ce qui était arrivé à Jean-Pierre Charbonneau il y a fort longtemps dans la salle de rédaction du Devoir et à Michel Auger dans le stationnement du Journal de Montréal.»
Cette commande aurait été en vigueur deux mois avant que Silva décide d'y renoncer.
Frédérick Silva a été condamné à la prison à vie pour de nombreux meurtres. Il a décidé de devenir délateur en juin 2022 pour ainsi vivre dans un endroit gardé secret sous la surveillance de la police.
Autres sujets abordés
- Congé de TPS pour deux mois: la loi est adoptée;
- La consigne sur les bouteilles de vin est encore reportée;
- Est-ce que les travailleurs du secteur public travaillent moins que ceux du secteur privé?
Le gouvernement de Justin Trudeau repousse l'adoption d'un projet de loi pour l'envoi de chèque de 250 dollars aux contribuables canadiens.
Les libéraux fédéraux ont décidé de séparer cet élément du projet de loi qui sera voté jeudi et qui mènera à un congé temporaire de la TPS pendant deux mois.
La mesure a été dénoncée par plusieurs alors que les retraités, entre autres, n'y sont pas admissibles.
«La fée des étoiles, [la ministre des Finances] Chrystia Freeland, est apparue mercredi en disant que le gouvernement allait attendre avant de prendre une décision finale concernant le chèque de 250$. Pourquoi? Parce que les partis d'opposition ont dit [...] qu'il faut inclure les retraités, les personnes malades, les étudiants. Ce qui fait exploser le coût du programme. [...] Pour l'instant, le chèque, on va y réfléchir. On ne sait pas si on va aller dans cette direction.»
Autres sujets abordés
- Le prix du café atteint des sommets;
- Les acheteurs de voitures sont moins attirés par les véhicules électriques;
- Moyens de pression dans les garderies: beaucoup de parents commencent à s’impatienter;
- Baby Shark à tue-tête au Complexe Desjardins pour faire fuir les itinérants.
- Prix, retards, bagages perdus: le Canada protège les compagnies aériennes au détriment des voyageurs
À l'occasion de sa revue de presse mercredi matin, Paul Arcand aborde les stratégies des compagnies aériennes pour facturer encore plus de frais aux voyageurs.
Il fait notamment mention de l'article du Soleil titré Vers la facturation des bagages de cabine, qui démontre que plusieurs transporteurs songent à facturer des frais supplémentaires pour les bagages.
«Ce qui veut dire, en pratique, que vous allez devoir payer encore plus cher. Ça fait partie des stratégies des compagnies aériennes de toujours augmenter le prix.»
Autres sujets abordés
- L'annonce coup de poing de Donald Trump, qui a promis de hausser les tarifs de 25% sur les produits du Canada et du Mexique, suscite encore beaucoup de questionnements. Est-ce du bluff?
- Frontières Cananda-États-Unis-Mexique: les enjeux liés au trafic de stupéfiants et à l'immigration;
- Le premier ministre François Legault demande à la mairesse de Montréal, Valérie Plante, de reprendre le contrôle de sa ville;
- Encore des milliers de postes demeurent vacants dans les écoles du Québec.
À l'occasion de sa revue de presse mardi matin, Paul Arcand aborde la taxe de 25% que promet d'imposer Donald Trump sur tous les produits vendus aux États-Unis par le Canada et le Mexique afin que les deux pays prennent des mesures musclées contre les immigrants illégaux et les trafiquants de drogue.
«L'impact direct, si Monsieur Trump va de l'avant, car on ne sait pas s'il va vraiment le faire et il peut changer d'idée très vite, c'est une augmentation possible des prix et aussi, pour certains biens, des ruptures de stock.»
Il explique que l'économie canadienne est intimement liée à l'économie américaine et qu'il en est de même pour le Mexique. La mesure pourrait d'ailleurs alimenter l'inflation, ce qui irait littéralement à l'encontre du mandat du président.
Mentionnons que Donald Trump a aussi affirmé qu'il était temps que le Canada et le Mexique paient le fort prix pour leur incapacité à sécuriser leurs frontières.
Autres sujets abordés:
- Donald Trump: le procureur spécial Jack Smith recommande d'abandonner les poursuites dans les dossiers d'ingérence pour renverser l'élection de 2020 et la mauvaise gestion de documents classifiés.
- Pablo Rodriguez estime que la position de Justin Trudeau ne sera pas efficace.
- Santé: un téléphone de cinq minutes d’un médecin à son patient: Québec offre 7,46$, une offre complètement ridicule selon les médecins.
- Certains des 25 000 patients orphelins du CIUSSS de l'Ouest de l'île de Montréal pourront bénéficier d'une technologie de suivi médical conçu pour les astronautes.
- Les jeunes du secondaire au Québec sont moins nombreux à consommer des drogues, de l’alcool, des cigarettes, des boissons sucrées et de la malbouffe qu'il y a 12 ans. C'est ce qu'indique une enquête de l'Institut de la statistique du Québec réalisée auprès de plus de 70 000 jeunes.
- Les jobs de bras, il faut croire que c’est dans l’ADN de la FTQ-Construction et du syndicat des cols bleus de la ville de Montréal.
- Fraude: ne dites jamais «Oui allô» en répondant au téléphone.
- Vol de données chez Desjardins: un acte d'accusation privilégié a été déposé hier pour accélérer le processus.
- On a beaucoup de difficulté à trouver de bonnes candidatures pour des postes en CPE.
- Absentéisme dans les cégeps: des étudiants estiment qu'on ne devrait pas pénaliser les absences.
- Protégez-Vous propose un dossier sur les appareils électroniques: Apple et Samsung sont en tête.
- Construction à Montréal: de petits cônes orange minces seront privilégiés.
À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand réagit à une enquête de La Presse qui révèle notamment l'ampleur des effets nocifs des écrans sur les jeunes enfants du primaire.
Les journalistes Gabrielle Duchaîne et Ariane Lacoursière ont mené des entrevues avec une dizaine d’enseignants, de professionnels et d’employés d’écoles primaires du Québec et les constats sont effrayants.
Des élèves ne sont ainsi pas en mesure de différencier un tigre et un lion sur une image. Certains sont incapables de sortir le capuchon de leur coton ouaté ou encore de peler eux-mêmes une banane.
«Sérieux, je vous dis, ce n'est pas hyper-scientifique, mais ça donne une tendance. Ce qu'on remarque, c'est que les enfants ne maîtrisent pas certaines activités de la vie quotidienne à leur arrivée à l'école.»
Autres sujets abordés
- Le conflit se poursuit chez Postes Canada à quelques jours du Vendredi fou.
- Négos entre Québec et la SAQ: vers de nouveaux moyens de pression?
- La police recherche toujours les manifestants qui ont tout cassé lors du vendredi antisémite à Montréal.
- Santé Québec parle maintenant de réduire les services.
- Télétravail: Elon Musk veut tout le monde au bureau cinq jours par semaine.
- Bande-annonce
Dans cette nouvelle série balado, La nuit où j'ai failli mourir, Bénédicte Lebel donne la parole à des femmes qui ont survécu à une tentative de féminicide. Les premiers épisodes seront disponibles dès le 25 novembre 2024, dans L'espace Paul Arcand.
Autres balados
Les plus consultés
- L'accueil des partisans des CanadiensÉcoutez l'après-match des Canadiens de Montréal avec Martin McGuire, Dany Dubé, Mario Langlois et Kevin Dupont.
- La prestation de Patrik LaineÉcoutez le sommaire du match avec Martin McGuire et le point de presse de Martin St-Louis.
- Table ronde sur les Canadiens de MontréalÉcoutez la table ronde hockey avec Mario Langlois, Arpon Basu, Stéphane Waite et Stéphane Leroux. Débat fort animé, presque explosif par moments.