À l’occasion d’une chronique à contre-emploi proposée vendredi au micro de Paul Arcand, écoutez le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon discuter tout d’abord de l’implication financière de l’État dans le sport professionnel, soulignant l’importance de la responsabilité envers les payeurs de taxes et les limites à ne pas franchir face à des pays comme l’Arabie Saoudite, qui a des budgets pratiquement illimités.
On revient aussi sur les souvenirs personnels du politicien qui liés au hockey, notamment le but de Peter Stastny en 1987.
Il parle aussi de la série opposant les Red Sox de Boston aux Yankees de New York, en 2004.
Le chef péquiste revient ensuite sur sa passion pour les sports, de même que sur son intérêt pour la gestion d’équipes sportives, en particulier le Canadien de Montréal.
«Je pense que plusieurs Québécois, à défaut de voir le Canadien gagner, ont jeté leur dévolu sur cette espèce de culture des "pools" de hockey où on se met dans la peau de Hughes et Gordon et on se dit: "Qu’est-ce que je ferais?" Donc, ça m’amène à l’Assemblée nationale souvent à être sur le site Cap Friendly à étudier la masse salariale du Tricolore de manière religieuse...»
Le chef du PQ souligne qu’à son avis, avec les 20 derniers matchs du Canadien cette saison et la progression des joueurs, il n’y a aucune raison de ne pas investir dès cet été pour la saison prochaine.
