Depuis le début de la saison, le duo formé de Nick Suzuki et Cole Caufield épate et séduit les partisans des Canadiens de Montréal.
En 20 matchs, soit le quart de la saison, Suzuki a inscrit 11 buts et récolté 12 mentions d’aide pour 23 points. Projection s’il maintient le rythme? Quarante-cinq buts et 94 points.
Pour sa part, avec le même nombre de matchs disputés, Caufield a 12 buts et 21 points. Projection? Tout près de 50 buts (49) et 86 points.
Au-delà de ces chiffres emballants, les gars de La Poche bleue notent que l’émergence des joueurs âgés de 23 et 21 ans est quelque chose de fondateur.
« C’est la première fois depuis Carey Price qu’on construit… sur quelque chose d’autre que Carey Price. Et là, c’est pour vrai. On a une vraie fondation. Ce n’est pas un Kotkaniemi… ce n’est pas un « peut-être ». Là, c’est vrai. Ce sont de super vedettes dans la Ligue nationale de hockey. Ils sont créatifs. Ils sont vraiment bons.
« C’est encourageant cette année de voir qu’ils sont capables d’aller chercher leurs points, leurs buts de différentes façons. Je pense qu'on apprend juste à les découvrir en ce moment. Je pense qu'ils ont encore plus à offrir. »
Montembeault, bien sûr
Dossier chaud: Montembeault ou Allen, vendredi après-midi, à Chicago?
« T'as pas le choix de la façon qu'il a performé », soutient Guillaume Latendresse.
« Il ne faut pas qu'Allen soit assis dans sa chaise et qu'il se dise: «C'est moi le premier, peu importe ce qui arrive». Il faut que ce gars-là se sente poussé par en arrière et qu'il sente qu'il peut perdre son filet à Montembeault. »