Pierre-Luc Pomerleau aimerait ça être un «vrai» mâle. Mais, franchement, ce n’est pas le cas !
«Ça paraît pas, mais je suis un peu complexé. Je ne suis pas un vrai mâle. J’aimerais pourtant être un vrai gars. Depuis mon déménagement en banlieue, j’ai constaté que tous mes voisins sont de vrais mâles. Ils ont plein d’outils et ils travaillent en bedaine. Moi, j’ai des petites mains de pianiste! Je me trouve poche.»
Même dans un énième voyage de char avec son chum Dano, Pierre-Luc a réalisé qu’il n’a rien d’un vrai mâle… La mécanique d'auto, c'est pas son affaire non plus.