L'auteur-compositeur et interprète, Sylvain Cossette, se raconte à Paul Arcand, à l’aube d’un retour sur scène pour souligner les 25 ans de l’album Rendez-vous. Dans cette grande entrevue, il revient sur ce qui lui a inspiré ses grands succès comme Tu reviendras, J'ai besoin et Reste si tu veux. À chaque fois que Sylvain Cossette monte sur scène, c’est pour retrouver sa gang et faire plaisir à son public.
La revue de presse de Paul Arcand
Sylvain Cossette : passionné comme au premier jour
Bonus · Publié le 28 décembre 2024
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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente la décision du ministère israélien de la Défense, qui a demandé à l’armée de préparer le départ volontaire des Palestiniens de la bande de Gaza.
L'État hébreu donne ainsi suite à l'idée du président américain Donald Trump qui a déclaré, mardi, souhaiter transformer Gaza en une station balnéaire tout en envoyant ses habitants en Jordanie ou en Égypte.
«Vous comprendrez que ça fait l'affaire de la droite israélienne parce que vous réglez le problème, vous faites fuir les Palestiniens, vous présentez ça comme une solution humanitaire et vous venez de prendre le contrôle d'un territoire et d'assurer la sécurité d'Israël...
«Qu'est-ce que ça veut dire aussi, cette déportation, cette ouverture vers une migration contrôlée? Ça n'arrivera pas. On le sait tous. Les Palestiniens veulent rester sur leur territoire. Ce n'est pas vrai qu'ils vont prendre la route de l'exil.»
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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit aux propos du président américain Donald Trump qui a déclaré que les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza.
Aux côtés du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, la veille, le républicain a expliqué vouloir faire de la bande de Gaza la Côte d'Azur du Proche-Orient tout en plaidant à nouveau pour le déplacement permanent des habitants du territoire palestinien.
«Une autre journée fort active pour Trump. C'est assez hallucinant [...] Il nous annonce que ce serait très agréable de faire de Gaza une espèce de station balnéaire. Il l'avait déjà dit et il l'a répété aux Palestiniens: "Prenez vos valises, ça ne sert à rien de retourner chez vous, ce sont des débris, il n'y a rien à faire, allez vous installer en Égypte, en Jordanie." Et ce, même si les deux pays ont dit ne pas vouloir recevoir ce lot de réfugiés [...] Ce n'était pas le président, mais le promoteur immobilier qui parlait.»
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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à l'annonce du sursis d'au moins 30 jours quant à l'imposition des tarifs douaniers américains.
Le premier ministre du Canada Justin Trudeau l'a confirmé lundi en fin de journée après s'être entretenu avec le président des États-Unis, Donald Trump, une deuxième fois.
«Trump montre qu'il est capable de mettre à genou ses adversaires. Il l'a fait avec la Colombie, le Mexique et il l'a fait avec le Canada. Il arrache des concessions, ça se fait rapidement et joue très bien ses cartes. Il prépare aussi la renégociation de l'Accord de libre-échange Canada-États-Unis-Mexique.»
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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand revient sur la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis.
Dès mardi, les deux pays imposeront des tarifs douaniers de 25%.
L'animateur commente notamment l'impact de ces tarifs douaniers sur les consommateurs, autant canadiens qu'américains.
Il aborde également l'importance de l'achat local et se questionne sur la pertinence d'un boycott des produits américains, notamment à l'épicerie.
«C'est sûr que l'achat local, c'est la meilleure chose. [...] Pourquoi on ne le faisait pas avant? Pourquoi ça prend une pandémie, une guerre de tarifs, pour soudainement se dire qu'il faut s'encourager entre nous? C'est difficile parce que, ce qui motive le consommateur, c'est le prix.»
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