Bien servis par leur jeunesse et leur vitesse, les jeunes joueurs des Canadiens ont mené la formation montréalaise à une cinquième victoire en sept matchs depuis le début de la saison, lundi soir, contre les Sabres.
Mais parfois, le spectaculaire contrôle de la rondelle exercée par les jeunes joueurs du Tricolore ne se transforme pas en tirs de l'enclave.
Écoutez Antoine Roussel se pencher sur le sujet au micro de Mario Langlois, aux Amateurs de sports.
Le dynamisme de Lane Hutson et d'Ivan Demidov
«Il y a eu des présences qui m'ont fait bondir de mon siège tellement j'ai trouvé que ça allait bien. Notamment des présences où Lane Hutson était jumelé à Demidov. Et ça, c'était sensationnel, parce que lorsqu'ils étaient ensemble sur la glace, il y avait un dynamisme, il y avait une complicité qui se déployait et il y avait surtout beaucoup de vitesse et des jeux à couper le souffle, parce que, l'un comme l'autre, ils sont pareils, sauf qu'il y en a un qui est un attaquant, l'autre qui est un défenseur.
«Et quand tu mets les deux ensemble, ça commence à tourner de tous les bords, de tous les côtés, et ça donne le tournis à l'équipe adverse. Si bien qu'on a eu des chances de marquer qui étaient phénoménales, mais ça ne s'est pas terminé par un but malheureusement.»
L'importance de simplifier le jeu offensif
«Souvent, il y a trop de passes. En ce moment avec le Canadien, on essaie le jeu parfait et le jeu parfait, il est problématique, parce que tu n'as pas de lancers. Je le dis souvent, c'est de l'adaptation. C'est le début de saison qui t'amène à jouer de cette manière-là, mais il y a aussi le fait que tu es mieux d'avoir des gars de talent qui cherchent à faire une passe de trop, que d'essayer de montrer à des plombiers d'essayer de faire un ou deux jeux. Ça, c'est plus complexe.»
Les autres sujets discutés
- Nick Suzuki hésite un peu dans sa façon de jouer;
- La gestion des gardiens de but par Martin St-Louis;
- Une saison bourrée de pièges en raison des Jeux olympiques en 2026.