Dan fait une rare confession: l’équipe formée de Martin, Val, Étienne et lui est pour lui la famille rêvée.
Mais il souligne le revers du métier: donner du réconfort chaque matin sans pouvoir en profiter soi-même.
Entre humour et émotion, il compare leur rôle à celui d’une série que l’on anime sans pouvoir la regarder, révélant la fatigue et l’injustice ressenties derrière le micro tout en réaffirmant son attachement à la gang.