Dans une lettre ouverte publiée dans Le Soleil, Pascal Hardy dénonce la situation dans laquelle se trouve sa fille qui joue dans une équipe de soccer AAA, mais qui n’est visiblement pas de ce calibre.
Il souligne que le club en question se devait de former cette équipe pour répondre aux critères de Soccer Québec et maintenir son prestige et certaines accréditations.
Écoutez le père de famille et auteur de ce texte publié mercredi matin en discuter au micro d'Élisabeth Crête.
«Je vivais un peu de frustration parce que je voyais ma fille triste, mais je me demandais je suis le seul à vivre ça. J'en ai parlé à d'autres personnes dans d'autres sports aussi. Des fois, les clubs se mettent une pression de remplir une case avec une équipe qui n'est pas de niveau.»