Danick raconte avec humour son enfance à Martinville, un village de 441 habitants où les chemins sont en purin, le dépanneur change de proprio aux deux ans et il n’y a même pas de réseau cellulaire!
Il enchaîne les anecdotes improbables : école divisée en trois villages, matchs de hockey contre des gamins du primaire, et liens familiaux aussi tordus qu’un arbre dans le bois.
À Martinville, même Google pense que c’est un parc à vaches.