Imaginez un parachutiste blessé aux cervicales après un atterrissage un peu trop brutal… et la CNESST qui lui ordonne de retourner sauter en parachute!
Oui, vous avez bien lu. Malgré ses blessures et la perte de sa certification, la CNESST estime qu'il est apte à reprendre son travail.
L'histoire soulève des questions sur la sécurité et la réalité des métiers à risques. Est-ce que la CSST a raison ou est-ce une décision un peu décalée?