Danick partage son aversion pour les hôpitaux, les églises et les salons funéraires, tous associés à la mort et à l’attente interminable.
Il compare l’attente à l’hôpital à celle d’un salon funéraire ou d’un mariage, et blague sur les funérailles où l'on célèbre quelqu’un qui n’est même pas là. Il imagine même des funérailles en mode "surprise party" pour les vivants, en pleine réflexion comique sur sa propre hypochondrie.