Les Alouettes de Montréal n'ont encaissé qu'un seul revers à leurs 18 derniers matchs, reportant la coupe Grey au passage en novembre 2023.
Est-ce qu'on peut parler d'une fièvre du football à Montréal? L'animateur Mario Langlois a posé la question à l'analyste Bruno Heppell.
«Il y a une fièvre. Quand je vais faire mon épicerie ou que je rentre dans des restaurants, les gens m'interpellent pour me parler des Alouettes, et ça, il y a quelques années, c'était disparu un petit peu», dit-il.
«Oui, les gens s'intéressent plus aux Alouettes. Ils viennent me parler des Alouettes en m'informant sur les Alouettes, parce qu'ils suivent les activités depuis, évidemment, la conquête de la Coupe Grey. Et si tu ajoutes à ça le début de saison absolument phénoménal qu'on a.. Ce n'est pas étranger au fait qu'on a plein de monde dans les estrades. Mais ça se transmet aussi dans l'environnement général de quelqu'un qui analyse le football comme moi.»
La résilience
Heppell note la résilience de cette équipe et autre chose, aussi.
«C'est une équipe qui gagne, peu importe qui est sur le terrain. Nous, dans les années avec Anthony Calvillo, la minute qu'Anthony n'était pas sur le terrain, on perdait, on va se le dire... C'est pas le cas pour les Alouettes cette année. C'est pas le cas avec les Alouettes en général, depuis l'arrivée de Danny Maciocia et surtout de Jason Maas.»
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